Virus de Wuhan, tout a commencé en décembre 2019

Article : Virus de Wuhan, tout a commencé en décembre 2019
Crédit: Iwaria
1 janvier 2022

Virus de Wuhan, tout a commencé en décembre 2019

Nous apprenions par la télé des cas isolés d’un nouveau virus en Chine, précisément à Wuhan. C’était en décembre 2019. Qui pouvait s’attendre à un virus mondial ? Une nouvelle grippe aviaire peut-être. Rien à craindre se consolaient certains scientifiques. Vaste blague !

Ce virus venu de chine n’a pas eu la phobie de l’avion. Il s’est envolé jusqu’en Europe, en Italie. Je me souviens encore du fameux mercredi des cendres où les contaminations ont monté l’échelle. Une nuit de deuil mondial.

Premier cas en Lombardie, on dit qu’il n’attaque que les personnes âgées… La blague des scientifiques continue. Personne ne considère la frénésie meurtrière qui remplit ce virus. Ensuite, doucement, on comprend qu’on avait sous-estimé l’ennemi.

Le premier lockdown. Soudainement, ces scènes de corps empilés dans des camions militaires font glacer le sang à tout le monde. Les systèmes sanitaires incapables de répondre correctement à la demande de soins, même dans les pays les plus développés.En effet, les violons de la science ne s’accordent pas pour expliquer ni la cause de la maladie ni son mode de propagation. La panique !

Chacun en proie devant le virus

Des gens qui attendaient la mort prochaine. En un temps relativement court, la grippe avait fait plus de morts qu’aucune autre pandémie semblable dans l’Histoire. J’ai lu un témoignage d’un médecin qui m’a fait pleurer. Il aurait déclaré: « Depuis que le virus a commencé à se propager et à tuer des malades je sens que je dois aller chez un psychiatre, mais aujourd’hui, je me sentais comme si je brûlais de l’intérieur, non je brûlais vraiment de l’intérieur après qu’un patient m’a supplié devoir ses enfants pour la dernière fois et après son urgence et ses pleurs, moi et l’équipe nous avons répondu et nous avons commencé en préparant l’endroit pour que les enfants puissent entrer en sécurité et après les avoir contactés, ils ont refusé de dire adieu à leur père par peur de l’infection, alors je les ai suppliés, mais ils m’ont tout simplement éteint le téléphone!

Ici, j’ai vraiment senti que j’étais en feu, que je me suis effondré et que je ne peux plus aller travailler, et aujourd’hui je suis suivi de séances de traitement avec un psychiatre et je prends un médicament puissant uniquement pour pouvoir dormir sans entendre les supplications de ceux qui étaient malades hier et aujourd’hui ils sont morts ».

RD Congo : la Covid-19 perturbe les funérailles Kinoises

Jamais un virus n’avait été autant étudié, décrypté, analysé. Mais un mystère persiste, une inconnue qui embarrasse encore le monde : comment éradiquer ce coronavirus ? Pas de réponse. Vaccinons-nous ! Non confinons-nous ! Non ! Oui ! Peut-être ! La bataille de l’incertitude…

Jeunes africains portant les masques pour lutter contre le virus de Covid-19
© Iwaria

Confinons-nous puis Vaccinons-nous !

Ils ont dit de tout fermer. Confinement ! Le début du théâtre d’hésitation. Le peuple a faim, ils rouvrent, puis ils confinent encore un peu plus et pour toujours maintenant…

Mourir de faim ou de Covid ? Sans Covid ou sans travail ? Le sauve qui peut s’installe. Les voleurs se confinent, même les terroristes font un cessez-le-feu à contre volonté !

Dans « La grande grippe« , John Barry envisageait les choses ainsi : “ Un terroriste possédant l’arme nucléaire est le cauchemar de tout dirigeant politique. Une nouvelle pandémie de grippe devrait l’être aussi« . Et bien, nous sommes témoins de sa prophétie scientifique.

Déjà, elle a frappé avec une effroyable soudaineté. Mille personnes mortes par jour. Une personne aimée morte. Des vedettes, des personnalités, des musiciens, des tous. Des cicatrices éternelles qui restent et font encore mal.

La petite grippe qui a cassé l’économie, elle a reporté une olympiade, l’Euro et la liste n’en finit pas. Elle a fait que l’athée avait envie de prier. Le monde s’est mis à genoux. L’air a manqué, ce fléau a engendré la peur, la peur de l’inconnu.

Maintenant c’est le tour du vaccin de faire ses preuves. Efficace ou pas, les scientifiques sont presque en majorité d’accord : vaut mieux ça que rien. Un antidote à une guerre contre un ennemi invisible que les livres du futur raconteront. Les médecins se sont enorgueillis de réussir à réduire les effets de maladies à coronavirus mais ils ne nous parlent pas des effets secondaires. En parallèle, dans tous les lieux le pass sanitaire et la distanciation d’un mètre et demi deviennent la règle.

Deux ans déjà que la Covid-19 s’érige en maître. Deux ans déjà que ça dure. Variant après variant, ce virus envole l’espoir de la vie d’ avant .

Personnalités mortes de Covid-19

Partagez

Commentaires